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Cake day: February 29th, 2024

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  • J’ai déjà eu des audio de 10-15 minutes, régulièrement, avec des errements, des passages d’hésitation, des phrases interminables ou incompréhensibles (AMA).

    Si j’ai pas le temps, et pas envie, ou autre…

    « Salut,

    « tu peux me le refaire en texte stp ? Pas un roman, mais un truc simple à lire. » ou « je peux pas écouter, c’est trop long et faut que je me concentre dessus. On peut s’appeller ce soir, si tu veux. » ou « je préfère les échanges par messages brefs, de quoi tu veux parler ? » (…)

    Merci »

    Au risque de ne pas paraître suffisamment misanthrope, j’opte pour la communication, et (important) toujours proposer une alternative ou une initiation à la conversation. Pas juste la réaction à la longueur du message. Ça lui permet de prendre connaissance du fonctionnement différent des autres (toi) et de relancer la discussion originelle. Le troisième exemple le montre bien: ça ne dit pas que tu n’as pas écouté mais ça initie de nouveau le dialogue.

    Pas de négligence, pas de remarque désagréable, pas d’implicite farfelu, pas d’agressivité passive, ni de remise à plus tard car je sais que j’oublierai. Ni me dire qu’oublier lui permettra de comprendre pourquoi il n’a pas de réponse.

    Si il persiste, un rappel de tes limites (fonctionnement) ou limitations (occupations, boulot, études, pas le temps, etc). Si ça dure encore et toujours, ras-le-bol de la communication, mute/ghost/whatever.

    Par contre si c’est une personne avec qui j’ai une relation spéciale, que je connais bien ET troublée par un événement dont j’ai eu préalablement connaissance, je prendrai le temps d’écouter car elle aura spécifiquement choisi ce mode de communication, pas par facilité mais par manque de choix. Ensuite j’aviserai toujours en communiquant avec elle clairement ce qui se passe, mon fonctionnement, mes limites, et comment faire cohabiter tout ça avec son fonctionnement et ses limites à elle (eg., une limite de temps, pas plus de N phrase, etc.)





  • Prey (2006). Discovered late 2023, when someone recommended me Prey (2017) (which didn’t click). The intro sets the atmosphere pretty well. The phenomenon that happens at the end of it both with the soundtrack hooked me. And level after level, I wasn’t bored a single time. Having the release date in mind, right before Portal came out, surprised me, especially since I’m not much into gaming anymore. A pleasant experience.


  • Ce n’est pas la courbe en elle-même. Ce n’est qu’une photographie qu’un instant T du quotidien intellectuel que l’on situe sur la courbe de Gauss. Pour en avoir passé un (contre mon gré), c’est très flou et approximatif, un changement majeur pourrait à mon avis être décelable. Un changement mineur… j’ai des gros doutes quant à la fiabilités des résultats aux tests réalisés.

    En revanche, pour avoir eu le COVID et ayant déjà des particularités neurologiques depuis la naissance, j’ai bien remarqué un impact sur mon fonctionnement au quotidien qui n’est pas suffisamment visible pour que les médecins s’y intéressent, bien que ce soit handicapant.

    Edit: j’avais mal compris ce passage:

    I estimate that a three-point downward shift in IQ would increase the number of U.S. adults with an IQ less than 70 from 4.7 million to 7.5 million – an increase of 2.8 million adults with a level of cognitive impairment that requires significant societal support.

    Ils parlent donc des personnes avec un QI normal à la limite basse, de mémoire. Là d’accord, ce serait peut-être plus décelable. Mais ça reste un instant T, le QI.


  • L’anglais, les jeux ont largement contribué mais ce ne sont pas grâce à eux que je suis bilingue (plutôt cours + usenet + échanger en anglais dès que j’ai eu internet). Je ne dirais pas que la gestion d’inventaire a aidé dans la vie à être organisé, étant plutôt hoard dans l’un, et tenter de ne pas l’être dans l’autre.

    Ce que j’ai vraiment acquis et utilisé en dehors des jeux, c’est le scripting. J’étais sur un serveur de test d’un MMO, que je prenais avec d’autres comme le vrai jeu (préférant la solitude et le peu d’interactions). Tricher n’était pas interdit mais pas autorisé non plus. Au début, de l’automatisation (mouvements de souris surtout) en AppleScript. Ensuite, sur un jeu par navigateur, j’ai largement scripté sous bash de l’automatisation et du traitement de données. Par celui-ci, j’ai également touché à une base de données pour la première fois (de statistiques d’affrontements, devinant l’algorithme du jeu, pour en faire un outil de prédiction), chose avec lesquelles je suis désormais habitué et m’aide à organiser mes pensées surabondantes.

    Je continue de scripter de temps en temps, aussi bien pour l’administratif, des tâches ennuyantes et répétitives, de sauvegarde, de trifouillage de bidules, traitement de textes, d’édition, etc.

    Minecraft, Starbound, etc. ont aidé à travailler la priorité des tâches. Carmageddon, à ne pas aller me baigner.