Ni une, ni deux, il file présenter le document à la gendarmerie de Reignier. «Ils n’ont rien voulu savoir. Ils sont méprisants, dans le déni. Cette mauvaise foi m’irrite: ils sont assermentés. En Suisse, si la police fait une erreur, elle l’admet. C’est pour ça qu’elle est respectée.»