La Quadrature du Net dénonce la façon dont les pratiques numériques de sept personnes mises en examen pour « association de malfaiteurs terroristes » dans laffaire dite du « 8 décembre » sont utilisées par la police et la justice comme des preuves de leur culpabilité. Au premier rang de cette affaire figure lutilisation de messageries chiffrées grand public : l'association regrettent que celles-ci soient instrumentalisées comme autant de « preuves » dune soi-disant « clandestinité » qui ne pe...
Marrant mais je n’aurai pas mis WhatsApp dans la liste au même niveau que signal, au vu du nombre de collaboration avec les autorités de la boîte.