TRIBUNE. Dans une tribune au « Monde », le consultant Jean Pinard estime que la critique de l’excès de fréquentation de certains sites touristiques devient caricaturale. Elle masque les vrais enjeux et ne sert qu’à stigmatiser les voyageurs issus des classes populaires, qui n’ont pas les moyens de s’offrir des vacances dans des endroits plus éloignés ou moins équipés, en dehors des congés scolaires.
Quand tu dis “surtourisme” cela veut dire qu’il y en a trop, que c’est au delà de la capacité maximum, et implicitement cela veut dire que tu veux le limiter. Parce que dire qu’il y a trop de quelque chose veut dire que tu as défini une notion de maximum (même si elle est vague) qui est inférieur au nombre de gens qui souhaitent s’y rendre.
Limiter le nombre de gens cela veut dire priver des gens de s’y rendre. Pour cela il faut filtrer, choisir qui pourra et qui ne pourra pas.
Dans notre monde, la méthode principale de filtrage c’est l’argent. Cf. Venise avec sa taxe journalière. On peut jouer a se mentir la dessus mais c’est la réalité. Peut être qu’un jour il faudra gagner un tirage au sort pour rentrer au mont saint Michel ou au Louvre mais j’en doute. Les gens qui vont limiter le tourisme vont se concentrer sur les “high value”, donc les riches.
Ton île avec son quota de 200 touristes va se concentrer sur les 200 qui lui font gagner le plus d’argent et pas 200 prolos qui vont au camping et boivent de l’eau des fontaines.
Bien sûr je ne peux pas lire l’article, mais la notion évoqué par le titre est assez évidente. La notion de surtourisme porte en elle sa solution qui est excluante pour les pauvres.
Effectivement c’est l’argent, mais plus le temps va passer plus l’écosystème sera determinant.
Quand on manquera d’eau, en 2050, on aura 2 options :
les usines de déssalement
les quota touristes/habitants selon les régions.
On pourra pas tous, ni toutes se regrouper en un meme lieu au meme moment. Ce sera plus tellement une privation mais une question de survie.
Et encore, avec le tourisme ya des pays qui se sont axé dessus et ont détruit leur marché locaux car le tourisme est devenu la composante centrale de leur économie.
Quand tu dis “surtourisme” cela veut dire qu’il y en a trop, que c’est au delà de la capacité maximum, et implicitement cela veut dire que tu veux le limiter. Parce que dire qu’il y a trop de quelque chose veut dire que tu as défini une notion de maximum (même si elle est vague) qui est inférieur au nombre de gens qui souhaitent s’y rendre.
Limiter le nombre de gens cela veut dire priver des gens de s’y rendre. Pour cela il faut filtrer, choisir qui pourra et qui ne pourra pas.
Dans notre monde, la méthode principale de filtrage c’est l’argent. Cf. Venise avec sa taxe journalière. On peut jouer a se mentir la dessus mais c’est la réalité. Peut être qu’un jour il faudra gagner un tirage au sort pour rentrer au mont saint Michel ou au Louvre mais j’en doute. Les gens qui vont limiter le tourisme vont se concentrer sur les “high value”, donc les riches.
Ton île avec son quota de 200 touristes va se concentrer sur les 200 qui lui font gagner le plus d’argent et pas 200 prolos qui vont au camping et boivent de l’eau des fontaines.
Bien sûr je ne peux pas lire l’article, mais la notion évoqué par le titre est assez évidente. La notion de surtourisme porte en elle sa solution qui est excluante pour les pauvres.
Effectivement c’est l’argent, mais plus le temps va passer plus l’écosystème sera determinant.
Quand on manquera d’eau, en 2050, on aura 2 options :
On pourra pas tous, ni toutes se regrouper en un meme lieu au meme moment. Ce sera plus tellement une privation mais une question de survie.
Et encore, avec le tourisme ya des pays qui se sont axé dessus et ont détruit leur marché locaux car le tourisme est devenu la composante centrale de leur économie.