Mes notes résumées :
Dès le début du tourisme, on a fait la différence entre les touristes “moutons” qui suivent la mode de l’industrie, et les touristes “voyageurs” qui profitent vraiment de leur destination, en pleine conscience. L’enquête trimestrielle sur le tourisme de TNS Sofres (qui remplace l’enquête vacances de l’INSEE depuis 2004) propose des listes d’activités comme les activités sportives et culturelles, et ignore les activités pas assez nobles : bronzage, sieste, karaoké, barbecue, apéro.
Des fortes fréquentations de quelques lieux ont un impact négatif sur certains endroits. Les [[calanques de Marseille]] sont un exemple, la [[Corse]] a instauré des quotas de touristes à partir de l’été 2022. Ces politiques de quota relèvent de la communication, voire du [[greenwashing]].
Cette tourismophobie s’accompagne souvent de sa composante l’[[retour à la nature|urbaphobie]] qui voudrait que les touristes doivent fuir la ville, alors qu’en général, les touristes cherchent au contraire des lieux très urbanisés (stations balnéaires, parcs d’attraction, métropoles, etc.).